Meurtre d’une surveillante à Nogent : les propos terribles du collégien avant de passer à l’acte

Un matin ordinaire à Nogent s’est transformé en tragédie lorsque, mardi dernier, un élève de 14 ans a poignardé à mort une surveillante de son collège. Le jeune adolescent, qui n’avait pas de grief particulier contre la victime, a avoué aux enquêteurs qu’il voulait s’en prendre à ‘n’importe quelle’ surveillante. Ce drame a secoué la communauté locale et a soulevé des questions sur la violence chez les jeunes.
Un élève tue une surveillante à Nogent (1/12)
Un élève de 14 ans a tué, mardi dernier, une surveillante dans un collège de Nogent, en Haute-Marne. L’adolescent, sans antécédent judiciaire, a agi sans motif apparent mais exprimait un mécontentement envers les surveillantes.
Confession de l’élève après un incident (2/12)
L’adolescent a été placé en garde à vue après avoir avoué son intention de tuer une surveillante. Un incident antérieur l’avait contrarié, mais la victime n’était pas impliquée. Le projet de meurtre a été formé peu après cet incident.
Attaque au couteau contre une surveillante (3/12)
Mardi matin, l’adolescent a pris un couteau pour attaquer une surveillante de 31 ans à l’entrée du collège. L’autopsie a révélé sept coups de couteau.
Absence de remords chez l’élève (4/12)
Le procureur de Chaumont souligne que le jeune garçon ne présente “aucun signe évoquant un possible trouble mental”, mais montre une fascination pour la violence. Il indique qu’il “n’exprime pas de regret, ni compassion pour les victimes”.
Un élève sans précédent de violence extrême (5/12)
L’élève, malgré son acte, est décrit comme un bon élève avec deux sanctions antérieures pour agression. Les incidents passés n’avaient pas laissé présager une telle violence.
Intervention rapide des gendarmes (6/12)
La présence des gendarmes pour un contrôle aléatoire n’était pas liée au projet meurtrier. Leur intervention rapide a évité un drame plus grand. “On ne peut que s’imaginer avec effroi ce qui aurait pu advenir si les gendarmes n’avaient pas été présents”, a souligné le procureur.